Le texte est bien écrit, certaines répliques font mouche et l'auteur est à son avantage mais, finalement, on reste un peu sur sa faim, la faute à une mise en scène soporifique. En clair on ne sort pas mécontent de la salle mais il manque clairement un peu de mouvement pour donner à la pièce une autre dimension
Du 8 au 31 juillet au Capitole (salle 1) à 18h30
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